L’Epouvanteur

L’Epouvanteur est un livre de l’écrivain britannique Joseph Delaney qui est mort le 16 août 2022.

Ce livre parle d’un jeune fermier qui se nomme Thomas Ward, qui est le septième fils d’un septième fils. Il devient l’apprenti de l’épouvanteur du comté. L’épouvanteur est une personne qui est entrainée pour éliminer les créatures de l’obscur qui commettent des méfaits dans les différentes régions du comté. Seul le septième fils d’un septième fils peut devenir épouvanteur car lui seul peut sentir l’approche du mal. Thomas va devoir apprendre à tenir les spectres à distance, à entraver les gobelins et empêcher les sorcières de nuire… et comme dans tout bon livre d’aventure, Thomas va rencontrer des péripéties.

Au début ça peut être long pour rentrer dans l’univers de ce livre mais ensuite ça va tout seul.

Pour commencer Tom (Thomas) va apprendre à distinguer les différentes créatures de l’obscur et à lancer une chaine d’argent pour ls capturer. Puis il va commencer a accompagner son maitre M. Gregory dans ses travaux.

Au début il étudiera dans la maison de l’épouvanteur, près de Chippenden, qui est protégée par un gobelin. C’est là qu’il va faire la rencontre d’Alice une apprentie sorcière. Elle va lui faire libérer Mère Malkin qui est la plus puissante et maléfique qui soit dans le comté et Tom et son maitre devront se mette à sa poursuite mais Alice deviendra dans le même temps la meilleure amie de Tom.

Je ne vous raconterai pas la suite du premier tome pour ne vous gâchez la surprise du premier gros combat de Tom car, oui, dans les autres tomes de cette série que j’ai dévorée il y aura d’autres dangers encore plus grands.

Si vous aussi vous avez lu le premier ou toute la série, dites-le moi dans les commentaires, si vous aussi vous avez adoré cette série ou au contraire si vous n’avez pas aimé dites-le moi aussi.

Et si vous ne l’avez pas lu, grâce à cet article j’espère vous avoir donné envie de lire ce livre. Mais attention il n’est pas à lire la nuit !

A bientôt pour de nouveaux articles,

C’était Chocopatiss